« Alborada do Brasil » a été édité dans le pays qui l’a inspiré et à qui il est dédié.
L’accueil dans les médias brésiliens est déjà très généreux :
Les deux principaux journaux du Brésil, FOLHA DE SAO PAULO et O GLOBO,
de Río de Janeiro, lui consacrent chacun des pages presque complètes avec photo.
Et Carlos a été invité a l’émission de télévision de Ana María Braga, une des plus grosses audiences
du Brésil, sur la chaîne Globo qui lui a consacré une vingtaine de minutes, où il a joué un An Dro accompagné par les Fuzileiros Navais, déjà invités à son concert au FIL, où ils l’avaient appris.
O ESTADO DE S. PAULO dit de l’album : « Pont de libre échange entre les deux rives de l’Atlantique, il met en évidence, bien que cela puisse sembler incroyable, les ressemblances
étroites entre les deux cultures musicales » c’est à dire, « la celte et la brésilienne ».
Et FOLHA DE SAO PAULO le qualifie de « Très Bon » et termine sa critique en n’écrivant
rien moins que: « L’album n’enlève rien au Brésil. Bien au contraire: quand à la fin, le joueur
de cornemuse fait de « Asa Branca » un « Amazing Grace du Sertao » c’est comme s’il offrait à notre musique un fondement perdu, la note archétypale capable de soutenir tant de diversité.